Présentation de ce voyage (cliquer pour accéder à l'article et si le lien ne fonctionne plus : https://baladesmv.blogspot.com/2025/01/beaucoup-daveyron-et-de-cantal-un-peu.html)
Nous faisons un premier arrêt et autant dire une énième tentative pour nous poser sur l'aire de Rodez et c'est bien la première fois que nous y trouvons des places libres et c'est même jour faste ! Imaginez 5 places libres sur les 6 disponibles. Ceci dit, les places restantes n'ont pas tardé à trouver preneurs.
Le stationnement est gratuit ainsi que les services. L'aire se trouve en contrebas de la ville, à environ 1 km du centre historique. C'est en bordure de l'aire que débute un sentier de randonnée qui longe l'Aveyron.
Coordonnées GPS de l'aire cc :
Pour ceux qui ne désirent pas marcher, sachez qu'il y a un arrêt de bus guère loin, ce qui évite de gravir la côte pour atteindre le centre-ville.
En ce qui nous concerne, nous avons commencé par rejoindre le centre historique via les escaliers dont le départ est au milieu du parcours de randonnée longeant les berges de l'Aveyron. Mais ça, plus jamais, surtout après quelques jours de pluie car le dénivelé est important, par conséquent la pente est abrupte, les marches inégales et souvent très hautes. Et nos trottinettes ont beau ne pas être très lourdes, il a fallu tout de même les hisser de marche en marche.
Nous n'avons pas récidivé et avons emprunté la route.
Première démarche, passer à l'office du tourisme et voir ce que la ville propose.
Faute de motivation, nous faisons l'impasse sur les musées Soulages et Fenaille qui n'acceptent que les chiens d'assistance et l'on va avoir du mal à faire passer Guess pour tel.
Les visites guidées ?
Nous ne sommes pas fans non plus. Nous les trouvons en fait trop contraignantes car selon le nombre de personnes et selon les guides, il arrive que l'on n'entende et ne voit pas grand-chose, sans compter que bien souvent l'on passe notre temps à courir derrière le groupe et je ne parle pas de faire des photos à l'arrache... Trop frustrant pour nous. Une seule visite guidée, nous ferait de l'oeil car il est impossible d'y aller autrement, celle du clocher de la cathédrale. Mais, c'est sur inscription et le planning est complet pour plusieurs jours.
Pourtant, la ville offre un joli panel de visites avec les guides conférenciers de l'Office de Tourisme :
"Au coeur du patrimoine" - "Vertigineux : le clocher de la cathédrale" - "Rodez dans tous les sens" - "Rodez à l'heure du jugement de Mr Guitard" - "La balade photographique".
Nous nous contenterons de faire le "Circuit piétonnier Rodez", en nous aidant du document qui nous a été remis à l'Office de Tourisme et de voir le spectacle sons et lumières sur la façade de la cathédrale.
Si ce programme vous tente, nous vous invitons à découvrir Rodez à notre rythme en commençant en haut des escaliers au niveau du square Bonnefé.
Les remparts démolis à partir du XVIIIème siècle, ont été remplacés au fil du temps par des boulevards agrémentés de fenestras. Le square Bonnefé fait partie des 6 fenestras de Rodez, à savoir qu'une fenestra est une terrasse aménagée sur le pourtour du boulevard qui ceinture la ville et permet d'avoir une belle vue sur la plaine. Cette fenestra héberge un cadran solaire et un monument.
ça, c'est en option, mais je l'ai trouvée tellement originale :
Il est temps de nous perdre dans les ruelles du centre historique où se dressent encore quelques façades à pans de bois et à encorbellement.
Nous nous engageons dans la rue de Bonald...
...où se trouve le restaurant La Pachole à la façade peinte par le street-artiste Poes.
Le square Georges et Jean Subervie permet aux citadins de s'évader dans un espace de verdure avec un coin lecture.
Guère plus loin, la place de la cité offre une autre ambiance. Ici, il y a du mouvement avec toutes les terrasses de cafés et restaurants et les petites ruelles commerçantes qui débouchent à chacun de ses angles. C'est là aussi que se trouve l'Office du Tourisme installé dans l'Hôtel de Coignac.
En ce moment, la place sert d'écrin à une exposition sur l'Afrique avec de grands panneaux où textes et magnifiques photos relatent des instants de la vie paysanne dans les villages africains.
En bout de place se dresse la statue d'Auguste-Denis Affre, archevêque de Paris (1793-1848).
Si l'Hôtel de Coignac, ancien hôtel particulier a été érigé à la fin du XIXème siècle, les vitraux de ses fenêtres à l'étage datent d'après la Seconde Guerre mondiale.
Quittant la place de la Cité, nous allons voir la façade de l'Hôtel de Séguret, ancienne propriété d'une famille de magistrats. Des masques grotesques encadrent la porte.
Le centre historique fourmille d'hôtels particuliers.
L'ancien hôtel de France est l'un des rares hôtels "à la française" de Rodez car son portail s'ouvre sur une cour dotée d'un jardin.
L'hôtel de Bonald construit au XVIème siècle a lui aussi le portail qui donne sur une cour...
...mais il se distingue par sa tour visible de la rue dans laquelle se trouve un escalier hélicoïdal.
Quelques mètres plus loin, nous longeons l'hôtel Delauro du XVIème siècle qui après avoir été tour à tour résidence d'un chanoine, puis école puis presbytère, abrite depuis 1982 l'Association ouvrière des Compagnons du Devoir et du Tour de France.
La porte de l'hôtel Delauro :
De maisons à pans de bois en hôtels particuliers, nous arrivons devant l'imposante façade du palais épiscopal. Toute de briques, elle se dresse face à la cathédrale.
Nous arrivons sur la place d'armes dominée par la silhouette imposante de la cathédrale, toute de grès rose.
Et pour être imposante, elle l'est ! 107 mètres de long, 36 mètres de large et 30 mètres de haut sous la voûte. C'est même l'une des plus grandes cathédrales du sud de la France.
Figurez-vous qu'il a fallu quasiment 3 siècles pour la construire et faire preuve de beaucoup de ténacité car il a fallu surmonter la guerre de Cent ans, les épidémies de peste et pour finir les chamailleries internes du diocèse.
Je ne peux m'empêcher d'admirer les superbes gargouilles accrochées sur ses parois. Moi qui ai un penchant pour celles-ci, je suis servie !
Et si le bâtiment semble austère de prime abord, à y regarder de plus près, il n'en est rien. Le regard est attiré par tant de détails, dommage qu'ils soient si haut perchés. C'est le moment où l'on ne peut qu'apprécier l'avènement de la technologie car mon zoom est largement mis à contribution.
La façade principale est exempte d'entrée car s'y trouvait jadis l'enceinte de la ville.
Le clocher dont la construction a commencé au début du XVIème siècle s'élève à 87 mètres. Il est de style gothique flamboyant.
L'extérieur de la cathédrale est déjà si riche en détails que je consacrerai un article pour l'intérieur.
A proximité de la cathédrale, le portail fermé de la maison Canoniale nous cache un style gothique flamboyant agrémenté de discrètes touches de style Renaissance. De même, nous ne verrons pas dans la cour, son puits en grès du XVème siècle orné des insignes des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle à savoir la coquille et le bourdon.
La Chapelle de l'ancien Collège Royal nous présente sa porte close mais la pancarte est moyennement lisible, aussi je vous la retranscris ci-dessous :
"Chapelle de l'ancien Collège RoyalPropriété du Conseil Départemental de l'Aveyron
Le nom de "Chapelle des Jésuites" serait plus exact, parce qu'il en rappelle les auteurs et il en évoque le style, celui de l'église de Gésu à Rome.En 1562, le Cardinal Georges d'Armagnac fonde le collège de Rodez, qu'il confie aux Jésuites. La Chapelle est construite de 1619 à 1649 par l'architecte ruthénois Hugues Bramarigues, en utilisant les matériaux du pays (grès et ardoises). Il adopte le style des églises jésuites : nef unique avec voûtes en berceaux.L'édifice renferme un riche mobilier, qui est d'origine ou qui provient du couvent des Annonciades de Rodez.En 1789, après l'expulsion des Jésuites, le collège devient "collège Royal", puis lycée.En 1930, il prend le nom d'un de ces plus illustres élèves, le Maréchal Foch.Il a accueilli d'autres élèves célèbres comme l'entomologiste Jean-Henri Fabre, Paul Ramadier ou Pierre Soulages...etc.La photo : Le Lycée Foch et la chapelle des Jésuites vers 1900"
Mêmes causes, mêmes effets, voici la retranscription du panneau concernant la galerie Foch :
"La Galerie FochPropriété du Conseil départemental de l'AveyronC'est tout ce qui reste, avec la Chapelle, du Collège créé en 1562 par le Cardinal Georges d'Armagnac et dont l'enseignement fut confié aux Jésuites.En 1762, le roi Louis XV, interdit l'ordre des Jésuites et l'Evêque de Rodez confie alors l'enseignement à ses Prêtres Séculiers (non cloîtrés).Fermé à la Révolution, il rouvre en 1795 pour accueillir l'Ecole Centrale du Département.Il prend ensuite le nom de Collège Royal de Rodez sous la Restauration, puis celui de Lycée Impérial, puis Collège de la République, pour finir par prendre le nom de l'un de ses plus illustres élèves le Maréchal Foch. Il a accueilli d'autres élèves célèbres comme l'entomologiste Jean-Henri Fabre, Paul Ramadier ou Pierre Soulages...etc.En 1970, après la construction du nouveau Lycée Foch, à Paraire, une partie du Lycée est détruite pour la construction du parking souterrain. Le Département envisage alors de sauver ce qu'il reste en le transformant en cité administrative.Le portique et la Galerie sont l'œuvre d'Hugues Bramarigues, maçon de Rodez.La Galerie a été restaurée et la fontaine de Gally, dite de Vors, autrefois placée dans l'axe du Boulevard Gambetta, a été remontée côté intérieur.La naïade qui orne la fontaine est l'œuvre de Denys Puech qui la sculpta en 1882.La photo : Le Lycée Foch et la chapelle des Jésuites vers 1900"
A l'angle de la rue commerçante d'Armagnac et de la place de l'Olmet, nous pouvons admirer la Maison d'Armagnac construite au milieu du XVIème siècle.
Propriété d'Hugues Daulhou, tout à la fois riche marchand et banquier, la façade de la bâtisse est un modèle remarquable de l'architecture civile à la Renaissance. Styles gothique et Renaissance se mêlent et médaillons, sculptures et frises s'y côtoient à foison !
Dès l'origine, le rez-de-chaussée a été destiné au commerce et les niveaux supérieurs à la partie habitable. Et il en est toujours ainsi.
Ce que l'on ne soupçonne pas, c'est sa façade à pans de bois cachée sous un placage de dalles de calcaire.
Un panneau particulier à la ville ?
Quant à la place de l'Olmet, tout à la fois centre névralgique du pouvoir comtal et haut lieu commerçant au Moyen Âge, elle doit son nom à son ancien ormeau qui représentait le pouvoir comtal. Elle a changé d'aspect au fil du temps mais est restée un lieu très peuplé de la ville.
Une ou deux rues plus loin, se dresse l'église Saint-Amans construite au XVIIIème siècle à l'emplacement d'une ancienne église du XIIème siècle. Si sa façade extérieure est de style baroque, notre dépliant nous informe que l'intérieur est de style néo-roman avec des chapiteaux de l'ancien édifice réemployés dans la nef.
Un regret, ne pas pouvoir découvrir les tapisseries du choeur du XVIème siècle, ces dernières relatent les miracles de Saint-Amans.
Le centre historique est plutôt riche en bâtisses incontournables et c'est très vite que nous nous retrouvons sur la place du Bourg où à l'un des angles se trouve la maison de l'Annonciation.
Cette dernière, construite au XVIème siècle appartenait à un riche marchand de produits agricoles François Dardenne qui logeait aux niveaux supérieurs alors que le rez-de-chaussée était destiné au commerce. Tout comme la maison d'Armagnac, elle est construite sur une structure à pans de bois sur laquelle sont agrafées des dalles de calcaire et elle aussi est de style Renaissance même si ce dernier se fait plus discret. Elle doit son nom actuel à un bas-relief représentant l'Annonciation.
Je vous retranscris le panneau :
"Foires et pouvoir comtalLa place du Bourg est au Moyen Âge dans l'emprise du cimetière paroissial qui environne l'église Saint-Amans.Au XIVe siècle toutefois, le comte y fait établir divers bâtiments publics liés pour l'essentiel à l'activité commerciale : mazel (boucherie) et poids publics pour le marché. Deux puits sont également présents sur la place, ainsi que le pilori.Aux XVe et XVIe siècles, les différents côtés de la place présentent des résidences bourgeoises, construites sur de larges parcelles. Leurs façades étaient construites sur des encorbellements de bois, mais paraissent en pierre grâce au placage de minces dalles de grès sur le pan-de-bois de la structure. Sur les façades à l'est de la place, on aperçoit dans les joints entre les dalles l'extrémité des agrafes métalliques qui les maintiennent.Toute proche, la petite place de l'Olmet était au Moyen Âge le lieu de représentation et d'exercice des fonctions de justice et de pouvoir du comte et le centre d'une activité commerciale prospère. Elle tient son nom de l'ormeau, symbole du pouvoir comtal, planté en son centre au Moyen Âge.Sur cette place de l'Olmet, la maison d'Armagnac est un témoignage de la vitalité économique des marchands du coeur du Bourg de Rodez, dont faisait partie son commanditaire, Hugues Daulhou. Construite dans les années 1530, elle constitue le plus remarquable exemple d'architecture civile de la Renaissance à Rodez ; avec un commerce au rez-de-chaussée et des habitations dans les étages, disposition qui perdure depuis sa construction. Sur une façade construite en pan-de-bois, le placage de dalles de calcaire a permis le déploiement d'un décor savant de couples en buste à l'antique ou vêtus à la mode contemporaine dans de nombreux médaillons. Ces derniers sont à rapprocher de ceux exécutés sur la clôture du choeur de la cathédrale Notre-Dame.Le sais-tu ?Sur la place du Bourg, si tu t'approches de la maison avec une tour, tu remarqueras un petit tableau sculpté sous la fenêtre à barreaux.Il raconte le début de l'histoire de Jésus : l'ange Gabriel agenouillé annonce à Marie, qu'elle portera un enfant, qui sera le fils de Dieu. On aperçoit Dieu en haut à gauche dans les nuages et la colombe du Saint-Esprit au-dessus des deux personnages.Pour en savoir plus : "Laissez-vous conter Rodez" en vente à l'office de tourisme - www.patrimoine.rodezagglo.fr"
Une maison attire particulièrement mon attention par ses sculptures situées au niveau des encadrements de fenêtres.
Nous quittons la place du Bourg où se dressait encore la guillotine à la fin du XIXème siècle pour nous réengager dans les ruelles.
Nous dépassons le musée Fenaille (Musée Fenaille - Archéologie et histoire du Rouergue - Rodez). L'ancienne maison médiévale agrandie et transformée en hôtel particulier, l'hôtel Jouery a appartenu à Maurice Fenaille, pionnier de l'industrie pétrolière et grand amateur d'art jusqu'à ce qu'il en fasse don en 1929 à la Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron en vue d'y établir un musée d'archéologie et d'histoire du Rouergue.
Son exceptionnelle collection de statues-menhirs datées d'il y a 5000 ans fait sa renommée.
Après tant de passages étroits et de ruelles, nous sommes presque étonnés d'arriver sur un lieu largement ouvert.
Sur notre plan, cet espace semble être composé de deux places, la place Eugène Raynaldi et la place Sainte Catherine.
S'y trouvent la mairie et un immense bâtiment largement vitré.
Aux abords de la mairie, l'histoire se rappelle à nous. En effet, il subsiste un vestige de l'ancien forum gallo-romain.
Nous avons repris nos déambulations dans les ruelles et arrivons au Mazel.
Je vous retranscris le texte trouvé sur le livret mis à disposition à l'Office de Tourisme "Laissez-vous conter Rodez - Pays d'art et d'histoire de Rodez agglomération au fil de la ville" :
"Le mazelLe mazel est un des édifices majeurs du patrimoine ruthénois. Construit en 1319, il est un des rares exemples de marché couvert médiéval conservé, plus précisément une boucherie ici. Son nom provient de la masse avec laquelle on abattait les bêtes. La ville comptait deux mazels, celui de la place Saint-Etienne dépendait de la Cité, le second était situé place du Bourg. Aujourd'hui, le mazel conserve toujours sa fonction marchande : c'est un passage couvert à deux entrées, qui était bordé au Moyen Âge de vingt taulas, c'est-à-dire de tables ou comptoirs où la marchandise était exposée.La porte de la façade ouest est surmontée d'une petite niche en accolade accueillant une statuette de Saint-Etienne, probable référence à la chapelle située à côté du mazel aujourd'hui disparue.Il est représenté en habit religieux avec le livre des Evangiles et la palme car il fut le premier martyr de la chrétienté.La statuette originale est conservée dans les collections du musée Fenaille et a été remplacée par une copie en 2014 à l'issue de la restauration de la façade."
Sur ordre du chanoine Jean Pouget, la maison Benoît a fait l'objet d'importants travaux au XVIème siècle destinés à unifier plusieurs habitations.
On peut pénétrer dans la cour intérieure et voir la balustrade de style gothique flamboyant. La tour à l'angle de la cour abrite un escalier à vis. Pour emprunter cet escalier, il faut passer par la porte au-dessus de laquelle figure une plaque de calcaire sculptée.
Un vigneron, sculpture réalisée au XXème siècle, rappelle les échanges commerciaux avec le proche vignoble de Marcillac.
Désireux de voir le spectacle son et lumières de la cathédrale mais peu enclins à retourner au cc pour revenir d'ici trois heures, nous rejoignons la place de la cité où nous n'avons que le choix entre les nombreux restaurants.
Et si nous sommes un peu fatigués, Guess l'est tout autant et c'est pour lui l'occasion de faire une petite sieste. C'est qu'il faut le ménager notre petit bout, il a beau être partant pour toutes nos aventures et bien vaillant, il n'est plus de prime jeunesse.
A la nuit tombée, nous assistons à un très beau spectacle. L'histoire de Rodez et de la construction de sa cathédrale prend forme sur la très grand façade de cette dernière.
Et pendant une bonne vingtaine de minutes, nous nous laissons porter par l'Histoire...
On ne pourra pas dire que nous n'avons pas arpenté Rodez en tous sens durant ce long week-end. Et pourtant, nous sommes loin d'avoir tout vu !
Comme promis, la prochaine fois je vous emmène à la cathédrale.
A bientôt ! 😉
Vous désirez être informé(e)s des nouvelles parutions,
et bien ! quelle balade et surtout bien commentée. J'ai hâte de voir l'intérieur de la cathédrale. Bises
RépondreSupprimerMerci Jacqueline, l'intérieur de la cathédrale sera en ligne jeudi.
SupprimerBonne fin de journée
Bises
Brigitte
Ayant déserté le net quelques temps je vois que j'ai beaucoup de retard dans tes balades ! Mais il faut dire que tu as la plume très rapide en ce moment 🤣 Rodez nous nous y sommes arrêtés il y a fort longtemps et c'est une belle ville. Bise charentaise
RépondreSupprimerCoucou Marie,
SupprimerEffectivement, je suis beaucoup sur l'ordi ces temps-ci pour écrire mes articles. J'en ai tellement en retard ! Autrement dit, si le coeur t'en dit, tu vas avoir de la lecture. :-)
Bises
Brigitte