samedi 15 octobre 2016

Dordogne (août 2016) 12ème partie


Toujours aussi belle...

Sarlat-la-Canéda




Nous avons découvert Sarlat en 2011, alors que dans le même temps nous faisions notre première expérience de camping-caristes. (cf. ICI)
Nous avions tellement aimé cette ville que nous ne pouvions passer à proximité sans y consacrer quelques heures.

Capture d'écran (Via Michelin) et localisation de l'aire cc.
Nous arrivons vers 18 heures, à temps pour prendre une des dernières places disponibles sur l'aire. Nous remarquons quelques changements, la barrière de l'aire n'est plus, quant au paiement au moment du départ c'est terminé. Le règlement se fait à présent par CB et espèces à la borne lors de l'arrivée, le ticket faisant foi du paiement. Coût : 7 euros pour 24 heures. De même, le grand parking où nous pouvions nous poser en journée est fermé par une barre de hauteur.
Nous partons arpenter les rues aussitôt.

Plan fourni par l'office du tourisme
D'un côté de la rue, un monument dédié aux morts de la Deuxième Guerre mondiale.

De l'autre côté, un monument dédié aux morts de la Première Guerre mondiale.

Entrée de l'hôtel de Cidrac du XVème siècle, devenu restaurant.


Cet artiste talentueux réalise des tableaux en une vingtaine de minutes, seulement muni de bombes de peinture et de spatules.
Il travaille apparemment sur commande et du peu que j'ai pu voir, il n'en manque pas !


Un passage jouxte l'entrée de l'Hôtel de Vienne (XVIème siècle)



Retour au cc, le temps du dîner. Et nous remettons une tournée à la nuit tombée...









Après ce bain de foule, nous regagnons le cc pour la nuit que nous espérons calme.
Dès le lever du jour, je pars déambuler à travers la cité médiévale, espérant la trouver déserte.

A droite, l'Hôtel de Mirandol (XVIème siècle)





Hôtel de Vassal du XVème siècle


Place du marché aux oies

Manoir de Gisson




Elle est bien vide la place de la Liberté ce matin !


Porte de l'Hôtel de Magnanat du XVème siècle où résidait le capitaine chargé de la défense de Sarlat pendant la guerre de Cent ans.

L'Hôtel de Ville sur la Place de la Liberté


Hôtel de la Royère (XVIème siècle). La Marquise de Roquefeuil y résidait au XVIIIème siècle.

Hôtel de Vienne du XVIème siècle






La place de Peyrou


La Maison de la Boétie sur la place Peyrou. La Boétie y est né en 1530.

Détails de la façade de la Maison de la Boétie...

...autres détails...

...

...

...La Maison de la Boétie est probablement une des plus ouvragées de la cité.

L'entrée de la cathédrale Saint Sacerdos sur la place de Peyrou et le palais épiscopal. Le palais du XVIIème siècle a été remanié en 1900 pour devenir un théâtre.

Cour des chanoines




Le passage des Enfeux




La lanterne des morts du XIIème siècle se trouvait au centre du cimetière bénédictin.
Son architecture est unique en France.



La cour des Fontaines





Un aperçu de la rue de la République qui traverse la cité.



Sarlat s'éveille doucement...

L'église Sainte-Marie du XIVème siècle au destin bien singulier.

Désaffectée après la Révolution, elle a été divisée en propriétés privées au XIXème
siècle, puis est devenue tour à tour Hôtel des Postes, dispensaire, laissée à
l'abandon de nouveau avant d'être réhabilitée en marché couvert en 2002.





L'Hôtel Dieu, cet ancien hôpital a fonctionné jusqu'à la fin du XVIIème siècle.
C'est aujourd'hui un restaurant.

Je suis rentrée faire la curieuse et j'y ai trouvé une très belle cour intérieure.












Il m'a fallu attendre 9 heures pour pénétrer dans la cathédrale. Elle est monumentale, lumineuse et relativement sobre. Les retables tous dans le même style donnent une belle impression d'unité.






Une porte laissée ouverte, me permet de voir un petit bout de sacristie.




















Fiat 508 S Balilla aux alentours des années 1935.


En retournant à l'aire, je passe devant le cimetière, elles sont bizarres toutes ces verrières, vous ne trouvez pas ?

Retour à l'aire où je retrouve mari et chien prêts à partir.

Eh bien ! Vous voulez savoir, Sarlat exempte de foule grouillant de toutes parts, c'est pas mal non plus ! C'est magique, presque irréel, pas un bruit...
En tout cas, ô combien plus simple à photographier.

Il est temps pour nous de lever le camp pour visiter enfin les Jardins du Manoir d'Eyrignac.














2 commentaires:

  1. Bonjour,
    Dans les rues désertes, j'ai quand même vu deux ou trois piétons ! C'est vrai que c'est mieux sans la foule. On a pu profiter d'une visite particulière. Les oies de Sarlat sont presque aussi célèbres que celles du Capitole. Originales les verrières du cimetière, jamais vu ailleurs. Merci pour la balade.

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  2. Ahhhhhhh quel plaisir de découvrir Sarlat sans foule, merci j'ai revu les endroits vus cet été !! Pour nous, ce n'était pas prévu de s'y arrêter et la foule m'a un peu incommodée....... mais bon en étant si près, il était bien d'y faire un tour ;-)
    Là, vraiment chouette de voir les rues vide, merci !!!!!!!!
    J'aurais bien aimé être là à cette heure aussi ;-)
    Superbe reportage ;-)
    Cath

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