Les 40e Médiévales de la cité ariégeoise
* Le point rouge concerne l'article du jour.
Enfin un week-end disponible !
A la recherche d'une idée de balade, je vais zieuter ma page "Fêtes et manifestations" du blog. Autant que cela me serve aussi, non ?
"Les Médiévales" de Mirepoix m'inspirent bien.
Ne reste plus qu'à trouver quelques destinations pour agrémenter le retour avec d'autres découvertes.
Ne reste plus qu'à trouver quelques destinations pour agrémenter le retour avec d'autres découvertes.
Adjugé, c'est parti !
Ce long week-end commence donc en Ariège et se terminera en Haute-Garonne après quelques 120 kilomètres de plus au compteur.
Mais revenons à Mirepoix !
Samedi
Ce long week-end commence donc en Ariège et se terminera en Haute-Garonne après quelques 120 kilomètres de plus au compteur.
Mais revenons à Mirepoix !
Samedi
La fête a commencé hier, aussi je craignais de trouver le parking archi plein, il n'en est rien et c'est tant mieux pour nous.
Bon, je fais l'impasse sur la découverte de la ville, ça, nous l'avons déjà fait, mais si cela vous intéresse, vous pouvez consulter l'article du blog - cf. ICI
Ce week-end est essentiellement tourné vers la fête et pour cette 40ème édition, j'espère que la cité a mis les petits plats dans les grands.
Un passage à l'office du tourisme où l'on me remet le programme des festivités.
Un passage à l'office du tourisme où l'on me remet le programme des festivités.
De notre parking, nous entendons des cris d'oiseaux. Je mets un bon moment avant de réaliser que ce sont ceux de rapaces ; le camp médiéval est installé juste en dessous, le long de l'allée des Soupirs.
Le fauconnier s'est installé en bout de l'allée et présente une douzaine de rapaces. Nous assistons à un joli spectacle de fauconnerie.
Symbole des Etats-Unis, la femelle pygargue à tête blanche, impatiente de participer au spectacle, déchiquette l'herbe de son bec imposant et puissant...
...alors que l'aigle royal est bien plus calme.
Outre la femelle Pygargue et l'aigle royal, les fauconniers nous présentent d'autres rapaces de taille plus modeste : buse de Harris, aigle des steppes...
Les buses font l'essentiel du spectacle avec capture d'un appât en vol, capture d'un leurre au sol...
...d'ailleurs, l'oiseau n'a pas l'intention de lâcher sa prise comme ça !
Le Caracara huppé fait le spectacle avec sa démarche légèrement sautillante. Ce grand faucon venu d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud déniche sa nourriture en retournant les pierres mais cela ne le gêne aucunement de faire pareillement avec une casquette ou un chapeau...du moment qu'il y trouve son compte.
Et tout le monde participe, même le Hibou Grand Duc du Cap !
Ces oiseaux magnifiques et fascinants m'occupent un bon moment.
D'autres stands sont alignés de part et d'autre de l'allée.
C'est le moment de s'initier à la fabrication des pigments d'antan, au filage, au tissage...
...tout en humant le fumet du repas de midi qui mijote doucement.
Respectueuse de la vie animale, un stand que j'aime beaucoup moins :
Je connaissais le chien-loup de Saarloos pour l'avoir découvert en exposition canine, je découvre le chien loup-tchécoslovaque, issu d'un croisement entre une louve des Carpates et un Berger Allemand. Le chien-loup tchécoslovaque et le chien-loup de Saarloos, sont les deux seules races reconnues de chiens-loups domestiques par la Fédération Cynologique Internationale.
La "faiseuse de couleurs" nous transporte au temps des cathédrales et des enluminures.
Du monument aux morts dressé au bout de l'allée, nous rejoignons le centre de Mirepoix.
A voir toutes les tables, on attend du monde !
😄 Cela a le mérite d'être clair. Avis aux parents négligents ! 😉
Si cela pouvait en responsabiliser certains.....................
Un marché d'artisans est installé sous les couverts : artisans d'art et producteurs de produits du terroir font bon ménage.
Je goûte du Sambuc, un apéritif artisanal ariégeois à base de fleur de sureau. Mes papilles gustatives apprécient modérément...c'est spécial ! Peut-être qu'à la bonne température, j'aurais plus apprécié ??? Pour le Sambuc, cf. ICI
Proche de l'office du tourisme, "Le Ballet de la sorcière", quel joli jeu de mots pour un petit magasin bien atypique, à découvrir sans modération.
Quelques sculptures de la Maison des Consuls :
Un spectacle capte l'attention des mousquetaires et autres badauds.
Il y a même un manège écolo qui requiert (en cas de jambes trop courtes) la participation des parents.
Des représentations sont données à heures fixes.
Nous assistons à celle de la Cie Ballarom qui allie espièglerie, jonglerie et dont nous apprécions énormément le talent.
Il y a une surprise dans le coffre...
...pas une de celle que j'apprécie. Comme je suis ravie de n'avoir pas été choisie parmi les spectateurs ! J'aurais détalé comme un lapin...à la simple approche de ce splendide serpent d'une bonne trentaine de kilos.
Le Groupe MEFIAT ?
Leurs morceaux incitent à marquer la cadence.
La Compagnie YALICKO fait sa première apparition. Échassiers et musiciens évoluent gracieusement dans de beaux ondoiements blancs et bleus.
Nous allons visiter la Maison de la Chevalerie, mais vous vous contenterez de la photo de l'entrée. Ainsi qu'à mon habitude, j'ai demandé l'autorisation de publier des photos sur mon blog, le propriétaire autorise les photos à titre personnel mais ne préfère pas qu'elles soient diffusées sur le net.
Week-end exceptionnel ? L'entrée au musée, nous permet de choisir deux prénoms qu'une gente dame nous calligraphie en écriture gothique.
Voilà qui fait plaisir à lire, mais un restaurant qui cuisine, quoi de plus normal !
Alors que nous attendons patiemment le spectacle nocturne des Ballarom, tout en profitant de la fraîcheur de la nuit, je m'amuse avec mon apn et comme nous sommes au pied de l'église...
Enfin !
La représentation commence avec plus d'une 1/2 heure de retard, il nous a fallu attendre la fin du repas donné sous la halle afin que ces messieurs-dames puissent assister au spectacle.
Dimanche
Ce matin, Mirepoix reprend le cours des festivités.
Que d'activité au pied de l'église !
Ce sont les jeux en bois, jeux anciens et populaires qui attirent tout ce monde. Au final, je constate que les gens s'amusent bien aussi sans technologie.
Le groupe Méfiat quant à lui met l'ambiance sous la halle.
Il est presque 16 heures et les participants au Grand défilé historique se mettent doucement en place. J'en profite pour faire quelques clichés alors que tout le monde est statique ou presque.
Chaque époque est associée à un personnage imaginaire.
Le défilé s'ébranle enfin...
Le défilé se termine après plusieurs passages dans les rues de Mirepoix.
Il était temps, j'ai failli perdre mon sang-froid face à l'outrecuidance d'un jeune photographe, blindé de matériel photographique high tech. Déjà hier au soir pour le spectacle des Ballarom, il s'est placé sans vergogne devant nous alors que nous attendions depuis plus d'une 1/2 heure et aujourd'hui...il m'a fallu jongler pour faire quelques photos sans avoir tantôt le bout de son objectif, tantôt sa tête, voire sa main ou...
Bref, pour résumer, ce Monsieur sans-gêne a mis ma patience à rude épreuve.
Voilà deux jours que nous tournons autour de l'église. J'en profite pour entrer et prendre quelques clichés. 😉
Elle est toujours aussi belle mais les peintures ont toujours un sérieux besoin d'être restaurées.
Pendant ce temps, Guess s'est fait une copine.
C'est génial mais épuisant les sorties ! Notre petit chien a la faculté de se taper un roupillon même au milieu d'une belle cohue, c'est plutôt pratique et quelle chance il a !
Un panneau que je découvre, il est grand pourtant !
Pour une lecture plus facile, j'ai fait un PDF, cf. ICI
"La Bouche Rit", ce n'est pas tant le nom original, mais le parfum des pizzas venu titiller nos narines hier au soir qui nous ramène ici. Nous avons pris une petite table dans la rue et ... nous nous sommes régalés !
A la nuit tombée, la Compagnie Yalicko illumine les rues et la place de la cité de lueurs bleutées. Le rendu est magique et c'est avec plaisir que nous voyons évoluer musiciens et échassiers.
Lundi
Nous ne pouvions quitter Mirepoix sans découvrir son marché. Je crois que d'habitude il se trouve sur la place, mais pour l'heure celle-ci est occupée par la fête aussi, le boulevard qui délimite l'ancienne cité médiévale est grandement mis à contribution.
Allez, je vous aide !
Encore ?
Dans la lancée :
Un peu surpris de trouver un si grand marché pour cette petite ville, c'est sur la jolie robe de ce vin rosé auréolé de la lumière de juillet que se termine cet article.
Bien sûr, la fête se poursuit encore aujourd'hui mais outre le marché artisanal, les festivités ne reprennent qu'à 18 h avec du théâtre en occitan, suivi d'une messe en occitan également. C'est le traditionnel défilé en costumes aux bougies qui clôt cette 40ème édition.
Mais, nous, nous serons déjà passés à autre chose...
Le fauconnier s'est installé en bout de l'allée et présente une douzaine de rapaces. Nous assistons à un joli spectacle de fauconnerie.
Symbole des Etats-Unis, la femelle pygargue à tête blanche, impatiente de participer au spectacle, déchiquette l'herbe de son bec imposant et puissant...
...alors que l'aigle royal est bien plus calme.
Outre la femelle Pygargue et l'aigle royal, les fauconniers nous présentent d'autres rapaces de taille plus modeste : buse de Harris, aigle des steppes...
Les buses font l'essentiel du spectacle avec capture d'un appât en vol, capture d'un leurre au sol...
...d'ailleurs, l'oiseau n'a pas l'intention de lâcher sa prise comme ça !
Le Caracara huppé fait le spectacle avec sa démarche légèrement sautillante. Ce grand faucon venu d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud déniche sa nourriture en retournant les pierres mais cela ne le gêne aucunement de faire pareillement avec une casquette ou un chapeau...du moment qu'il y trouve son compte.
Et tout le monde participe, même le Hibou Grand Duc du Cap !
Ces oiseaux magnifiques et fascinants m'occupent un bon moment.
D'autres stands sont alignés de part et d'autre de l'allée.
C'est le moment de s'initier à la fabrication des pigments d'antan, au filage, au tissage...
...tout en humant le fumet du repas de midi qui mijote doucement.
Respectueuse de la vie animale, un stand que j'aime beaucoup moins :
Je connaissais le chien-loup de Saarloos pour l'avoir découvert en exposition canine, je découvre le chien loup-tchécoslovaque, issu d'un croisement entre une louve des Carpates et un Berger Allemand. Le chien-loup tchécoslovaque et le chien-loup de Saarloos, sont les deux seules races reconnues de chiens-loups domestiques par la Fédération Cynologique Internationale.
La "faiseuse de couleurs" nous transporte au temps des cathédrales et des enluminures.
Du monument aux morts dressé au bout de l'allée, nous rejoignons le centre de Mirepoix.
A voir toutes les tables, on attend du monde !
😄 Cela a le mérite d'être clair. Avis aux parents négligents ! 😉
Si cela pouvait en responsabiliser certains.....................
Un marché d'artisans est installé sous les couverts : artisans d'art et producteurs de produits du terroir font bon ménage.
Je goûte du Sambuc, un apéritif artisanal ariégeois à base de fleur de sureau. Mes papilles gustatives apprécient modérément...c'est spécial ! Peut-être qu'à la bonne température, j'aurais plus apprécié ??? Pour le Sambuc, cf. ICI
Proche de l'office du tourisme, "Le Ballet de la sorcière", quel joli jeu de mots pour un petit magasin bien atypique, à découvrir sans modération.
La Maison des Consuls |
Quelques sculptures de la Maison des Consuls :
Un spectacle capte l'attention des mousquetaires et autres badauds.
Il y a même un manège écolo qui requiert (en cas de jambes trop courtes) la participation des parents.
Des représentations sont données à heures fixes.
Nous assistons à celle de la Cie Ballarom qui allie espièglerie, jonglerie et dont nous apprécions énormément le talent.
Il y a une surprise dans le coffre...
...pas une de celle que j'apprécie. Comme je suis ravie de n'avoir pas été choisie parmi les spectateurs ! J'aurais détalé comme un lapin...à la simple approche de ce splendide serpent d'une bonne trentaine de kilos.
Le Groupe MEFIAT ?
Leurs morceaux incitent à marquer la cadence.
La Compagnie YALICKO fait sa première apparition. Échassiers et musiciens évoluent gracieusement dans de beaux ondoiements blancs et bleus.
Nous allons visiter la Maison de la Chevalerie, mais vous vous contenterez de la photo de l'entrée. Ainsi qu'à mon habitude, j'ai demandé l'autorisation de publier des photos sur mon blog, le propriétaire autorise les photos à titre personnel mais ne préfère pas qu'elles soient diffusées sur le net.
Week-end exceptionnel ? L'entrée au musée, nous permet de choisir deux prénoms qu'une gente dame nous calligraphie en écriture gothique.
Voilà qui fait plaisir à lire, mais un restaurant qui cuisine, quoi de plus normal !
Alors que nous attendons patiemment le spectacle nocturne des Ballarom, tout en profitant de la fraîcheur de la nuit, je m'amuse avec mon apn et comme nous sommes au pied de l'église...
Enfin !
La représentation commence avec plus d'une 1/2 heure de retard, il nous a fallu attendre la fin du repas donné sous la halle afin que ces messieurs-dames puissent assister au spectacle.
Dimanche
Ce matin, Mirepoix reprend le cours des festivités.
Que d'activité au pied de l'église !
Ce sont les jeux en bois, jeux anciens et populaires qui attirent tout ce monde. Au final, je constate que les gens s'amusent bien aussi sans technologie.
Le groupe Méfiat quant à lui met l'ambiance sous la halle.
Il est presque 16 heures et les participants au Grand défilé historique se mettent doucement en place. J'en profite pour faire quelques clichés alors que tout le monde est statique ou presque.
Chaque époque est associée à un personnage imaginaire.
Le défilé s'ébranle enfin...
Le défilé se termine après plusieurs passages dans les rues de Mirepoix.
Il était temps, j'ai failli perdre mon sang-froid face à l'outrecuidance d'un jeune photographe, blindé de matériel photographique high tech. Déjà hier au soir pour le spectacle des Ballarom, il s'est placé sans vergogne devant nous alors que nous attendions depuis plus d'une 1/2 heure et aujourd'hui...il m'a fallu jongler pour faire quelques photos sans avoir tantôt le bout de son objectif, tantôt sa tête, voire sa main ou...
Bref, pour résumer, ce Monsieur sans-gêne a mis ma patience à rude épreuve.
Voilà deux jours que nous tournons autour de l'église. J'en profite pour entrer et prendre quelques clichés. 😉
Elle est toujours aussi belle mais les peintures ont toujours un sérieux besoin d'être restaurées.
Pendant ce temps, Guess s'est fait une copine.
C'est génial mais épuisant les sorties ! Notre petit chien a la faculté de se taper un roupillon même au milieu d'une belle cohue, c'est plutôt pratique et quelle chance il a !
Un panneau que je découvre, il est grand pourtant !
Pour une lecture plus facile, j'ai fait un PDF, cf. ICI
"La Bouche Rit", ce n'est pas tant le nom original, mais le parfum des pizzas venu titiller nos narines hier au soir qui nous ramène ici. Nous avons pris une petite table dans la rue et ... nous nous sommes régalés !
A la nuit tombée, la Compagnie Yalicko illumine les rues et la place de la cité de lueurs bleutées. Le rendu est magique et c'est avec plaisir que nous voyons évoluer musiciens et échassiers.
Lundi
Nous ne pouvions quitter Mirepoix sans découvrir son marché. Je crois que d'habitude il se trouve sur la place, mais pour l'heure celle-ci est occupée par la fête aussi, le boulevard qui délimite l'ancienne cité médiévale est grandement mis à contribution.
Allez, je vous aide !
"Une place de marché d'hier et d'aujourd'hui
A la suite de la terrible inondation qui a, en 1289, ravagé le castrum sur la rive droite de l'Hers (village fortifié autour d'une maison forte), la ville est reconstruite ici. Son organisation régulière est dite en damier. Les rues rectilignes se coupent à angle droit. Un large îlot est réservé à la place du marché. A chaque angle, des passages, appelés cornières, sont aménagés. Tout autour se développent les "couverts". Ils résultent de l'usage de construire au-dessus de la rue une avancée de façade, supportée par des arcades, dans le prolongement des habitations. Cet espace central de la ville accueille les principaux édifices. A l'origine, la place se poursuivait jusque derrière la cathédrale et les deux blocs de bâtiments, actuellement de part et d'autre de la halle, n'existaient pas. Ils ont vraisemblablement été construits à la fin du XIVe siècle ou au début du XVe siècle."
Encore ?
"La halle
Elle remplace le premier bâtiment, sans doute fermé, en bois et/ou en pierre. Achevée en 1885, elle s'inscrit pleinement dans le mouvement de multiplication des halles à ossature métallique à partir de 1850. Elle comprend seize poteaux fins, creux, en fonte. La charpente est surmontée d'un lanterneau permettant de contrôler l'éclairage et la ventilation. Les éléments de construction sont des produits industriels, fabriqués en séries, diffusés par catalogues, liés à l'utilisation des nouveaux matériaux que sont le fer et la fonte. Leurs références sont celles de l'architecture de pierre, comme on peut le voir pour les chapiteaux des piliers qui copient les modèles corinthiens. On parle de "halle Baltard" en référence à celle que l'architecte Victor Baltard construisit pour Paris de 1854 à 1866. Ne présentant aucun point d'appui intérieur, la halle offre des facilités de circulation, des gains de place et une réponse à de nouvelles préoccupations hygiénistes. Les échanges se basent sur des mesures à grain de différentes capacités. On les remplit et lorsque l'on récupère leur contenu par le bas, on en connaît la quantité. Il reste deux exemplaires d'un double-décalitre devant l'office de tourisme."
Dans la lancée :
"L'hôtel de ville
Il prend place dans un ilôt d'habitations (moulon) qui, comme son pendant de l'autre côté de la halle, a été construit au tournant des XIVe et XVe siècles. Tous deux se calquent sur les constructions du pourtour de la place. Les maisons sont édifiées avec la technique du pan de bois. Leurs étages, reposant sur des piliers, constituent le "couvert". Toutefois, ils tournent le dos à la cathédrale opérant ainsi une séparation entre l'espace religieux et l'espace laïc. François Rabinel de Calzan, receveur des tailles, édifie en 1760 la maison la plus imposante de la place. Racheté par la municipalité en 1806, cet édifice abrite toujours la mairie qui conserve notamment un document de Louis Philippe la rétablissant dans ses droits d'usage des armoiries."
L'Hôtel de ville |
Un peu surpris de trouver un si grand marché pour cette petite ville, c'est sur la jolie robe de ce vin rosé auréolé de la lumière de juillet que se termine cet article.
Bien sûr, la fête se poursuit encore aujourd'hui mais outre le marché artisanal, les festivités ne reprennent qu'à 18 h avec du théâtre en occitan, suivi d'une messe en occitan également. C'est le traditionnel défilé en costumes aux bougies qui clôt cette 40ème édition.
Mais, nous, nous serons déjà passés à autre chose...
Et pour vous donner une idée de l'ambiance, rien ne vaut les images :
Un récapitulatif des intervenants, en espérant n'oublier personne :
- La Compagnie Loubatière - cf. ICI
- Coeur de Tr'âme (tissage) - Pour les joindre : coeurdetrame@yahoo.com
- Le Prince des Dombes - cf. ICI
- Raymond et ses chevaux
- Les Faiseurs de couleurs
- Le Royaume oublié (calligraphie et art du livre au Moyen-Age) - cf. ICI
- Les fauconniers - cf. ICI
- Compagnie Ballarom - cf. ICI
- Compagnie Yalicko - cf. ICI
- Compagnie Bellimercator - cf. ICI
- Le groupe Méfiat
- Club d'Escrime Chaurien - cf. ICI
- Joc-Bois (jeux en bois) - cf. ICI
La suite de cette balade - cf. ICI
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Une magnifique sortie, j'aurai été captivée par les rapaces, la faiseuse de couleurs, mais je serai tombée raide en voyant le serpent !!!! j'en ai une réelle frousse !!!
RépondreSupprimerTes gros plans sont superbes !!! merci pour le partage. Bise charentaise.