La Lombardie (sept. 2010)

ITALIE

Un crochet par la Lombardie au bord du lac de Garde

Sirmione

Nous quittons Vérone, pour terminer l'après-midi à SIRMIONE qui se trouve à une quarantaine de kilomètres.

 

Pas de problème pour se garer, il y a plusieurs parkings (et nous sommes en voiture).

 

La cité est bâtie sur une presqu'île au sud du lac de Garde.

D'emblée, l'imposant château médiéval s'impose à nous et nous entrons dans la cité en franchissant le pont-levis.

 

Nous avons quitté la foule à Vérone pour nous retrouver dans la foule à Sirmione.

 

Une sculpture originale sur le parking

 

 

C'est le genre de statue qui vous suit du regard d'où que l'on soit !

 

 

 

Notre premier centre d'intérêt : le château. C'est une imposante forteresse  dénommée "La Rocca Scaligera"  bâtie par les seigneurs de Vérone au XIIIème siècle.

 

 

 

 

 

Trop fatigués pour grimper, nous déléguons mon mari pour le visiter, à charge pour lui de prendre des photos du haut du donjon.

 

 

 

 

Après cette visite par procuration et une petite averse nous reprenons notre cheminement à travers la cité.

 

 

Le stand de glaces, nous dit : "Viens, Viens.... et nous nous laissons tenter, avec tout ce que nous avons marché depuis ce matin, nous ne risquons rien d'emmagasiner quelques calories !

 

 

Les bougainvillées encore en fleurs en septembre, semblent bien se plaire sous ce microclimat.

 

Nous nous rapprochons du bord du lac tout en longeant de beaux jardins.

J'espère que c'est une pierre factice, car les petits bouts de bois
qui la maintiennent en "apesanteur" ne m'inspirent pas confiance.

Une bien jolie poule d'eau, pas farouche pour un sou !

Sirmione est depuis le début du XXème siècle une station thermale réputée pour soigner les voies respiratoires.

Depuis toujours lieu de villégiature, la cité était déjà louée dans les vers de Catulle, poète romain. César, Dante, Virgile et bien d'autres y auraient d'ailleurs séjourné.

Nous n'avons pas visité (le temps n'incitant pas à la promenade) ni les vestiges du temple, ni les Grottes de Catulle (une très grande villa romaine) ; mais le peu que nous avons vu de la cité était grandiose.

Un seul regret, le ciel gris et la brume ne nous ont pas laissé le loisir d'admirer le lac tel qu'il doit être par beau temps !

Et c'est sous une pluie intermittente que nous rejoignons notre gîte à Malo.

Un bon repos est indispensable, demain nous visitons Padoue.