jeudi 3 mai 2018

Lozère : Le Malzieu-Ville (avril 2018) 7ème partie


Un joli coup de 💖 pour ce village médiéval



L'intégralité de notre parcours (liens actifs) :



Notre intention première : visiter Saint-Flour, mais...


Saint-Flour

...le ciel pleure et l'aire ne nous emballe pas plus que ça.
Est-ce le gris ambiant ? Elle nous paraît lugubre. 
En pente, au bas et loin de la vieille ville, bref, nous décidons de nous installer sur une grande place de la ville haute, mais c'était sans compter sur l'installation d'un futur spectacle de Monster Trucks.
Après maintes hésitations, notre décision est prise, on va voir ailleurs si le ciel est plus bleu.

Pas vraiment bleu, mais il nous offre un double arc-en-ciel alors que nous roulons sur l'A75 !



Un court arrêt sur l'aire du Viaduc de Garabit que nous avons toujours zappé jusqu'ici, juste histoire de voir le viaduc.


Sur l'A75, aire du Viaduc de Garabit



Nous quittons le Cantal pour la Lozère et nous voici au MALZIEU.


Le cc calfeutré, et nous bien emmitouflés, nous faisons connaissance avec le village assoupi.


Lozère

Lozère







Nous trouvons des rues quasiment désertes aux pavés luisants et les rares villageois croisés doivent nous prendre pour des..."originaux".
Mais qu'est-ce que c'est joli aussi, un village endormi !






Lozère


Capture d'écran "Via Michelin" et localisation de l'aire cc.

Nuit paisible mais réveil frisquet ! 
Sitôt le nez dehors, nous sommes saisis par la fraîcheur ambiante. 
2°C, OK, mais nous sommes en avril quand même !
En avril peut-être, mais à 865 mètres d'altitude,  en pleine Margeride, une chaîne de moyenne montagne.

Nous sommes stationnés dans le prolongement de la place du foirail, sur la "Prat de la Fouon", une large rue située entre la Truyère (rivière) et le village.
Stationnement et services sont gratuits, mais l'aire de services semble n'avoir que les vidanges, pas de robinet en vue.


Plutôt original ce travail à ferrer avec ses poteaux en pierre.

Lozère



Un bien joli programme !

Ce sera donc une balade entre ciel gris et parapluie.

La municipalité a bien fait les choses, de nombreux panneaux rythment le circuit, si nombreux qu'ils m'ont incitée à me lancer dans le scrap pour égayer un peu l'article sans  trop faire "empilage d'infos".

Aussi, je compte sur votre indulgence, c'est une Première. Allez, je me lance !!!
Vous n'avez plus qu'à suivre...



Lozère
Ancienne chapelle des Pénitents (la mairie de nos jours) et la tour de Bodon



Hôtel des Voyageurs


Lozère

Lozère
La porte haute



Que d'hommes illustres pour un si petit village !

Le Malzieu, se serait pourtant bien passé de croiser la route de Mathieu Merle !

Mathieu Merle.

Même si c'est un peu loin dans le temps, c'est un fait marquant de l'histoire de Malzieu :

"Le trou de Merle
Mathieu Merle, écuyer du puissant baron Gévaudannais François Astorg de Peyre, se trouvait en 1572 à Paris où il accompagnait son maître au mariage d'Henri de Navarre (futur Henri IV) avec Marguerite de Valois, fille de Catherine de Médicis.
Cette union qui devait réconcilier catholiques et protestants fut une des causes du massacre de la Saint Barthélémy, qui aura pour victime parmi ces derniers, le baron de Peyre.
Merle qui échappa à cette nuit d'horreur du 24 août 1572 en gardera la haine inexpiable qu'il portera aux catholiques et la fureur qu'il mettra à les combattre. 
Marie de Crussols, ardente calviniste et veuve du Baron de Peyre, pour venger son époux, confia à Merle le soin de punir les cités catholiques du Gévaudan. Ainsi le 15 novembre 1573, Merle et ses hommes se lancèrent sur le Malzieu qui dépendait du Duché de Mercoeur sous l'autorité de Philippe de Lorraine, dévoué au parti catholique. Ils pénétrèrent à l'intérieur du village par la ruse en passant sous le mur du rempart par le lit du béal.
De nombreux habitants furent tués et 14 prêtres massacrés. La prise de la cité s'accompagna de pillages, de la destruction de l'église, et de l'emprisonnement de bourgeois catholiques dans la tour de l'Horloge, qui durent verser une rançon pour permettre à Merle "de récompenser ses soldats qui n'ont gagné ni butiné aucune chose et ont conservé l'honneur de leurs femmes et leurs filles".
Avec Merle ce fut un véritable cataclysme de terreur qui s'abattit sur le Gévaudan."

Lozère

Lozère


Décidément...

"Robert de Flers
1872-1927
Auteur dramatique.
Membre de l'Académie Française.
Conseiller Général du Malzieu.
Commandeur de la Légion d'Honneur.
Journaliste, voyageur, humoriste, il brocarde l'Académie Française dans l'Habit Vert, mais quelques années plus tard, il y est reçu haut la main ; il se moque des diplomates et devient ambassadeur !
Officier, la guerre de 1914 l'appelle et il assure la liaison entre les armées d'Orient et d'Occident par des missions aériennes peu courantes à l'époque, réchappant même à un grave accident d'avion. Il reçoit la croix de guerre avec de nombreuses palmes.
A propos de la guerre 1914-1918, dans son livre "La petite table", Robert de Flers écrit un récit plein de tendresse où l'on peut lire sur le Malzieu :
   "Les sabots qui ne sont pas revenus...
   C'est l'histoire de mon village, qui est pareille à celle de tous les villages dans les pays de France qui ne s'énorgueillissent pas du voisinage d'une grande ville. Elle se résume, cette histoire, en peu de mots : la moitié de ceux qui sont partis pour la guerre ne sont pas revenus.
"Je lui avais donné, m'a dit en pleurant une vieille meunière, une paire de sabots tout neufs, que j'avais achetée à la dernière foire, parce que lorsqu'ils sont en bouleau frais, on dit que ça porte bonheur. Il a écrit deux lettres ; le cantonnier me les a lues. Il allait bien. Et puis on me l'a tué là-haut dans un bois qui a un nom...".
hélas ! combien de sabots ne sont pas revenus !" 

"ROBERT DE FLERS de l'académie française 1872-1927"


On ne peut pas dire que ma réduction de pixels facilite la lecture !

"L'ancien couvent des Ursulines
Le monastère de la "Dévote Compagnie des Vierges Religieuses de Mme Ste Ursule" créé à Brescia (Italie) fonctionna dans ces bâtiments à partir de 1618.
La vie au couvent soumise à la règle de la "clôture" impose aux religieuses de vivre dans une enceinte interdite aux laïcs. Leur journée débutait à 4 heures pour se terminer à 21 heures, consacrée à la prière et à l'instruction des jeunes filles de la cité. Ce bâtiment comporte encore une ancienne cellule monastique du XVIIème siècle décorée de peintures. Avec la tourmente de la Révolution, les Ursulines quittèrent le Malzieu en 1792.
En 1793, la compagnie Nortier du 1er bataillon franc s'installe dans les murs du couvent qui par la suite, servira successivement de "violon municipal", de tribunal pour la Justice de Paix, de lieu de répétitions pour la  Lyre Malzévienne et abritera les locaux de la mairie.
L'ensemble conventuel était fermé, côté place de la Vierge, par un corps de bâtiments dont l'ancienne halle au blé qui fut en son temps la chapelle du couvent de 1626 jusqu'à la Révolution.
Le blason primitif situe l'Union Romaine dans la grande famille de l'ordre de Ste Ursule. Les capitulantes choisissent pour blason celui autorisé par le roi Henri IV en 1607 pour les Ursulines de Pau." 

Lozère
Couvent des Ursulines prolongée par ce qui fut la maison de Jacques Choupin.








Un peu plus de clarté ?

"Maison familiale du Vice-Amiral Jacques Choupin
1924-2002
Officier de Marine.
Commandant de la base aéronavale de Landivisiau.
Commandant du porte-avions Foch.
Commandant de la zone maritime de l'Océan Pacifique.
Commandeur de la Légion d'Honneur.
Croix de Guerre T.O.E.
Enfant de Lozère, l'amiral Jacques Choupin aimait la terre et la maison de ses ancêtres. Il n'en ressentit pas moins l'appel de l'océan et des airs.
Pilote de chasse, combattant de la guerre d'Indochine, il connut une carrière passionnante et c'est en Margeride, loin des missiles et des états-majors, qu'il aimait retrouver le calme et la sérénité.
Il repose dans le cimetière du Malzieu." 

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Maison de Jacques Choupin

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Maison du XVIIème siècle










Lozère







La place des Ollier, occupe en fait la façade arrière de la chapelle des Pénitents (mairie).


Lozère


Lozère

La Cité cosmique (2015) PESA


Je vous aide ?

"L'aune des drapiers
L'aune - 1.188 mètres de longueur servait d'étalon pour les nombreux drapiers du secteur.
Au XVIIème siècle, l'artisanat de la laine, ou, cadisserie, tenait une place importante dans l'économie locale.
La laine prélevée sur les moutons permet de lutter contre le froid par des vêtements chauds et solides, mais aussi de se procurer par la vente des tissus la monnaie indispensable au paysan pour acquitter les taxes, impôts et redevances dus au Roi, au Comte, au Clergé et au Seigneur.
Après avoir prélevé les toisons, il faut les laver puis carder et filer la laine avant qu'elle n'arrive sur le métier à tisser.
Une fileuse au rouet, travaillant dès la pointe du jour jusqu'au soir gagne 2 sous à la journée soit le prix d'une livre de pain.
En 1736, il y avait 47 tisserands au Malzieu auxquels il faut ajouter tous les paysans-tisserands disséminés dans la campagne." 

Lozère




Un coup de zoom...sur un sacré CV :


"Maison familiale d'Eugène Thomas Louis Marie de Rozière
1820-1896
Professeur à l'Ecole des Chartes.
Inspecteur Général des Archives de France.
Professeur au Collège de France.
Maire-Conseiller Général du Malzieu.
Sénateur de la Lozère.
Officier de la Légion d'Honneur.
La fille d'Eugène de Rozière épousa en 1871 Raoul de la Motte-Ango, marquis de Flers.
On peut rattacher à cette famille l'amiral Auboyneau, Chef des Forces Françaises Navales Libres qui fut Compagnon de la Libération.
Le Général de Gaulle assista à ses obsèques célébrées aux Invalides à Paris." 

Maison d'Eugène de Rozière


Rue du Galastre


Lozère




Lozère

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Pierres sculptées de réemploi

Pierre sculptée avec trois coquilles Saint-Jacques provenant de la 2ème église du Malzieu (1582)

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Pour une lecture plus facile :

"Général Pierre Bertrand Louis Brun de Villeret
1773-1845
Elève des écoles militaires de La Flèche et de St Cyr.
Aide de camp du Maréchal  SOULT.
Il est fait Baron de l'Empire par Napoléon Ier.
Député de la Lozère.
Président du Conseil Général de la Lozère.
Commandeur de la Légion d'Honneur.
Sa maison se situe place du foirail.
Le Général Brun de Villeret est auprès du Maréchal Soult au milieu des armées de Napoléon à Marengo, Ulm, Austerlitz, Iéna, Friedland et Wagram.
Après la défaite de Waterloo en 1815 et la "Terreur blanche" qui suivit et qui fit de nombreuses victimes parmi les fidèles de Napoléon, le Général Brun de Villeret abritera le Maréchal Soult dans sa maison du Malzieu.
Nommé Ministre de la guerre par Louis XVIII, Soult confie le Secrétariat Général du ministère à Brun de Villeret." 


Autres temps, autre guerre, autre grand homme :

"Marc Monod dit Marco (1911-1995)
Médecin, né d'une famille protestante et universitaire, Marc Monod s'installe en mai 1942 au Malzieu-Ville avec sa famille. Fin 1942, il s'engage avec sa femme Jacqueline dans la Résistance au sein du réseau "Combat"à la demande de Gilbert de Chambrun. Cet homme pratique la médecine dans des conditions très difficiles avec peu de moyens. Il établit des certificats médicaux pour protéger les Juifs et les réfractaires au S.T.O, tout en continuant à exercer son métier de médecin de campagne.
En juin 1944, au cours des combats du Mont Mouchet, haut lieu de la Résistance, ce médecin fait partie de ceux qui cherchent, transportent et cachent des maquisards. Il soigne et opère les blessés au péril de sa vie. Nuit et jour, il parcourt routes et chemins de la Margeride, de Saint Alban à Saint Flour, sans aucun répit et toujours sur le qui-vive. Sa femme, à ses côtés, joue un rôle primordial dans la lutte contre l'occupant nazi.
Des habitants de la région et la Mère supérieure de l'hospice, soeur Vedèche, le soutiennent et sauvent aussi la vie à de nombreux blessés.
Dénoncé auprès des autorités allemandes pour avoir soigné des résistants, il est recherché et considéré comme un "terroriste", passible de la peine de mort.
De nombreux membres de sa famille s'engagent dans la Résistance, comme son frère Jacques (Lieutenant Meunier) qui tombe mortellement blessé le 20 juin 1944 lors des combats du réduit de la Truyère.
"Nous avons su, dès le premier jour, qu'il ne pouvait être question, pour nous, tout de suite et pour nos enfants, plus tard, de nous soumettre".
Marc Monod est maire de Malzieu-Ville de 1947 à 1949
3ème Collège du Sacré Coeur Saint Chély d'Apcher (6 juin 2015)

Lozère


La maison du Gouverneur




Il semble fermé aujourd'hui, mais ils étaient incontournables il y encore quelques années, ces petits magasins multitâches. Dans celui-ci, se côtoyaient chaussures, articles funéraires, matériel photographique, maroquinerie et articles de pêche et chasse.






Bon, ben...

"Guy de Chaulhac
Guy de Chaulhac naquit autour de 1300, à proximité du Malzieu au petit village de Chauliac (Chaulhac).
Pour sa vocation à la médecine subsiste une légende : une jeune fille noble de la baronnie de Mercoeur, gravement blessée à la jambe à la suite d'une chute de cheval, n'arrivait pas à guérir de cette fracture ouverte.
On pensa à Guy qui fit si bien que la demoiselle marcha peu de temps après.
Après ses études à l'Université de Montpellier et de Toulouse, il obtint, en 1325, le titre de Maître en Médecine et Chirurgie et alla perfectionner ses connaissances en Italie et à Paris.
Devenu grand consultant, il devint le médecin des papes d'Avignon : Clément VI qu'il trépana, à qui l'on doit la construction du Palais des Papes, Innocent VI et Urbain V, le lozérien ainsi que Philippe VI de Valois.
Chanoine de St Just il revient à Lyon en 1367 lors de sa nomination comme "hostelier", directeur de l'hospice rattaché à l'Abbaye de St Just.
Guy termina en 1363, une oeuvre capitale "La Grande Chirurgie" dont le but était d'enseigner la chirurgie : "...pour vous Messieurs les Médecins de Montpellier, de Bologne, de Paris et d'Avignon, avec lesquels j'ai été nourri, oyant, lisant et opérant", et plus loin : "En faveur des jeunes pour lesquels est cette écriture...".
Guy de Chaulhac est mort le 23 juillet 1368 et serait enterré dans la chapelle d'un château, voisin de Chaulhac, détruit au XVIème siècle lors des guerres de religion." 


Incroyable, quasiment un grand homme à chaque rue !

Et je vous aide encore...

"Général Louis d'Aurelle de Paladine
Le Général Louis Jean-Baptiste d'Aurelle de Paladine naquit au Malzieu le 9 janvier 1804.
Élève de l'Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr, il est remarqué pour sa vive intelligence et sa fermeté de caractère.
Blessé en Algérie, cinq fois cité, il est fait Chevalier puis Officier de la Légion d'Honneur.
Il rentre en France avec le grade de Colonel et trois ans plus tard, en 1851, il est promu Général de brigade à 47 ans.
En 1868, il est fait Grand-Croix de la Légion d'Honneur.
La bravoure d'Aurelle de Paladine, la rectitude de son jugement et sa rigueur en ont fait un officier légendaire.
Gambetta, Ministre de la guerre, le nomme Commandant en Chef des Armées de la Loire et c'est à Coulmiers (Loiret) que le 9 novembre 1870, il inflige une sérieuse défaite au Général bavarois Von der Thann.
A la victoire de Coulmiers s'ensuivit la chute d'Orléans où d'Aurelle de Paladine doit se résigner à évacuer la ville.
Le Général d'Aurelle de Paladine est mort au Palais de Versailles le 17 septembre 1877."



Allez, le dernier pour la route... !


"La Porte des Drogols
L'une des trois portes située dans le mur de l'enceinte fortifiée du bourg médiéval où passaient les tisserands pour aller laver et teindre leur production au bord de la Tuyère ; les teintures étant des produits vendus ou utilisés par les droguistes.
Les bâtiments situés de part et d'autre de cette Porte ont abrité l'Hospice du village tenu par les Filles de la Charité. Elles créent pour les pauvres une pharmacie, un ouvroir pour les jeunes filles ayant quitté l'école, un orphelinat et une maternité qui fonctionna de 1945 à 1968.
La Porte des Drogols donne accès à l'avenue Pierre Rousset qui fut maire du Malzieu et qui modernisa la ville dans les années 1930.
Cette avenue s'appelait autrefois rue du Valat, évoquant ainsi la limite Est du bourg lorsqu'il était cantonné aux abords immédiats du château." 

La Porte des Drogols

Lozère



Nous délaissons un temps le circuit pour voir de plus près la scène aperçue hier à l'entrée du village. La bête du Gévaudan a fait des ravages dans la région et a terrorisé la population.

Même pas peur ! 








La place du foirail et un petit clin d’œil à un ami virtuel qui chasse un rat qui lui vole ses noix ! 😉


Lozère





Inutile de préciser que Le Malzieu nous a énormément plu. Et même la bruine persistante n'a pas réussi à nous le rendre moins...attrayant !

Le site de la mairie : ICI

Un grand merci 😊 au "Blog du Forum DCS" qui m'a permise de faire mes premiers pas  dans l'activité de digiscrap : http://le-blog-clean-et-simple.blogspot.fr/ 
Kit utilisé : "Des reCreations pour soi" de mai 2016.


3 commentaires:

  1. Whaouuu que de beaux clichés, bravo !!!!
    Une jolie réalisation aussi avec ce "scrap", que je découvre ;-)
    Quel village, superbe, calme et un beau circuit de découverte complet ;-)
    EN plus, Guess est de la partie ;-)
    Ah bien joué pour le clin d'oeil LOL
    Merci pour ce reportage
    Cath

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  2. Bonjour,
    Et bien quelle leçon d'histoire, avec la bio de tous ces personnages plus ou moins connus. La bête du Gevaudan, elle était sûrement moins féroce que ce Merle. Jolie ville (ou village). Merci pour cette belle balade instructive.

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  3. bonjour encore un beau village que tu nous fais découvrir, dommage pour St Flour il y a un joli patrimoine à visiter et la vieille ville est très sympa, depuis le bas de la vieille ville on peut emprunter le chemin des chèvres (330 marches)la prochaine fois il faut faire cette visite. Merci pour le partage. Bises

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